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Last Days

25 mars 2009

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26 décembre 2008

Je ne-

Ce fut stable. Pertinent et involontaire. Une sureté tenace, originelle et acre. L'efficience consommée fut de loin une persistance assouvie et décridibilisant malheureusement ce que je nommerais tout simplement la g-

I-IV-V.

Le tintement était sec mais souple. Agréable et doux. Court, instantané, il s'échappe du fond sonore et s'expose à nous pour délivrer son faible mais tendre son, incaptable puisqu'imprévisible.

7 décembre 2008

Déclaration Carrillonaire.

Il se peut que definitivement ce soit un point de non-retour qui s'ouv-

Une substance blanche, fade et terne qui s'emplit en moi subitement, telle une gelée aqueuse qui grouille avec effroi.

J'ai lu qu'il existait des livres destinés au jardinage pour aveugles. Je n'ai pas saisi le pr-

Sur le Quai du Metro:
Une femme allongée sur le sol, inconsciente; deux hommes debouts, l'entourant, sans uniforme, qui prennent des notes sur un calepin noir. A gauche de la femme, un homme avec un bonnet retroussé qui farfouille dans une boite à outil. Et surtout, des passagers en foule totalement indifferent à l'absurdité et l'innquiétante étrangeté de cette scène et qui passent autour sans même jeter un coup d'oeil.

Deambulation dans un nouvel espace, indetermination precaire, prise de conscience assouplie mais peu réglée.

16 septembre 2008

En vain je me relève assis.

Il ne faut pas oublier que c'est un état qui n'est pas à proprement aprler plaisant, mais il simule une quiétude bienveillante cependant armée jusqu'au dents pour sévir dans le domaine dépendentiel. Et puis il y a l'anesthésie lourde du premier instant, un souffle, une seconde, et le silence, étrange, brutal, malsain, oui malsain mais finalement, paradoxalement, ce fut agréable. L'attrait devient comestible, instantané, régulier, fréquent, essentiel? le dernier point est une situation psychologique qui se rend compte du vice de la chose, et qui, soit exploite ce vice pour y trouver une issue, temporaire surement, mais à perseverer on finit par nuire à la chose, et, finalement, s'en débarasser.

Techniquement il est rare d'apercevoir une lueur d'espoir de fondement de quoi que ce soit d'envisageable à cet instant même c'est plutôt inquiétant mais en même je ne m'en soucie pas oui si quand même ça me prend parfois le matin j'y pense et c'est assez








[une sorte de fatalité soudaine, génante par son attrait vertueux],







mais cela passe. Envisager devient omniprésent et à la fois totalement incohérent, la réalité s'impregnant brusquement d'une myriades de possibilités et autres scénarios illogique dans le sens où la société ne l'envisage pas, et il s'agit donc aussi ici du terme "Envisager", et l'on se perd, fragile, bordé par une calme nappe ambiante.

Cette nappe est notamment un état qui certes s'accroit ces temps ci mais d'une manière si douce et aérienne que je ne trouve pas une seule raison qui puisse me faire changer d'avis sur l'évolution que prendront les choses dans ce domaine.

La démogogie est un terme publicitaire largement rossé par les centralisations hiérarchisées.

18 mai 2008

Cette nuit entouré de chaises je me suis rendu

Cette nuit entouré de chaises je me suis rendu compte de l'absurdité de ce concept quant il n'est pas utilisé. Je regarde autour et je vois des fauteuils, un canapé, un pouf, et autres chaises.

Vides.

Terriblement vides.

La chaise en elle même est la présence d'une absence puisqu'elle ne peut etre etre inutile si elle est vue. Elle témoigne d'un néant qu'on observe en constatant qu'il n'y a personne assis. Donc le rien prend forme par son opposé. Et entouré de tout ces fauteuils, un silence morbide s'est installé quelques instants, et tous les absents indeterminés qui n'était pas assis semblaient me dévisager, impressionantes créatures inexistance qui effraient pas leur capacité infondée à apparaitre.

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30 avril 2008

Cheval organique. D'une langueur monocorde il

Cheval organique.

D'une langueur monocorde il fallait bien qu'un jour je retourne à nouveau ici, que ce soit pour lisser les bordures ou pour satisfaire les trois inconnus qui me laisse des messages anonymes sans jamais se dévoiler, ce qui est d'ailleurs d'une frustration assez économe. Des gens me parlent, c'est d'une gentillesse plaisante et chronique mais il est décevant de n'observer qu'un vague pseudonyme triste et rachitique en guise d'identité. Il est cependant evident que vous avez raison, puisque de toutes façons je fais la même chose. Et puis je comprends, vous ne devez pas avoir de jolis prénoms, sinon vous les afficheriez avec vigueur et pénétration transcendentale dans un éclat de passion subordonnée relative.

Il arrive un moment où ce que l'on croit passé revient plus vite encore et déchire avec souplesse ce qui nous reste de sourire. C'est un petit rien, une miette absurde que l'on sait nous même absurde, mais que l'on interprête tel un pain tout entier, et cela brise. Il y a une montée, un plaisir auquel on s'attache, une montée difficile certes, mais on s'accroche, parce qu'on veut arriver en haut. En fait on sait dès le début que la montée est infinie et qu'il faudra bien à un moment se jeter de la falaise pour retomber. Plus on attend et plus on se fait mal. mais on veut rester, on se dit que peute tre finalement un jour la montée s'arretera et il y aura un festin, une auberge, un arbre. Mias il n'y a jamais rien. Alors on saute, on rechute, on s'écrase. Parce qu'il faut se rendre à l'évidence, il n'y aura jamais de sommet. Mais dès le moment où l'on saute, on se dit que l'on fait une erreur et que si on avait grimpé encore un peu, rien qu'un peu, ca aurait tout changé et on aurait réussi à gravir les derneire marches et rester en haut un moment. Alors on se dit qu'on va remonter. Le probleme c'est que l'on a chuté bas, et qu'il faut tout recommencer, et que tout refaire une seconde fois, c'est d'une frustration abominable. Et puis on sait aussi que dans le fond il n'y a pas de sommet. Mais on veut reessayer. Alors on se fait encore mal, on s'écorche, pour sauter à nouveau, plus exaspéré encore. Paradoxal.      

5 janvier 2008

Votre activisme militant me fend la houille par

Votre activisme militant me fend la houille par dessus l'embarcadère.

Et c'est reparti pour un tour. Je reviens et je n'ai encore absolument rien à dire. Le contenu est caché. Tellement caché que je ne le retrouverai pas. Alors simagrées ubuesques et autres planteurs de choux garnis vous pouvez renoncer aléatoirement à une quelconque cause de solidarité pragmatique. Je serais laid vicieux et paraplégique dans une inconscience provisoire.

Donc. Aujourd'hui est un jour comme les autres alors il n'y a pas de raison d'en parler. MAIS CEPENDANT attention écoutez bien ce qui suit et bien cette journée, et bien c'est tout de même une journée à part. En fait, hier était une journée à part, avant-hier aussi. Mais vous aussi aujourd'hui, hier et avant-hier si ce n'est ergonomie profane sauvagement retenu, et bien vous aussi ce fut une journée à part. CAR et c'est là tout le noeud de l'histoire, une journée, est une journée. C'est à dire qu'elle est constitué d'une logique propre à elle qui et qui se déroule dans un enchainement de volonté, désirs, acquis, acquisitions, prédateurs des montagnes, échecs et réussite. L'echec et la réussite seront traités dans un chapitre ultérieur.
Ainsi la journée est une joie. Il faut l'admettre, se lever le matin apporte des perspectives.

Le mot joie est ici un simple concept qui indique le fait que l'avenir est emplis de perspectives, il ne fait pas reference à un état d'humeur particulier, on peut donc etre triste dans la joie. Ainsi, le but ultime de la journée est d'acceder au but que l'on s'est fixé pour cette journée. Les buts sont multiples, les chances d'atteindre le but dépendent de differents facteurs, tels que le fait d'étendre du coton blanc sur du linge aphrodisiaque ou encore celui du poête de Montmarchais qui a composés autres bagatelles infames sur le comportement dépravés de certaines castes prolifères. Par exemple, si l'on s'est fixer le but de passer à travers la porte, le fait d'atteindre l'objectif varie des fonctions climatiques, géographiques et physique. un homme de 20 ans, sportif, sous un ciel bleu et une douce pente qui mêne à son but a plus de chances d'atteindre la porte qu'un viellard tétanissé sous la foudre dans une montagne enneigée. Ainsi le but a pour fin l'échec ou la réussite.

Ce que je dis n'a aucun interet. Je viens de relire la derniere phrase, c'est d'un paralysant cutané hos pair. Alors je vais arreter. Difforme anabolisant.

26 septembre 2007

Je reviens mais c'est vraiment parce que là en ce

Je reviens mais c'est vraiment parce que là en ce moment j'ai vraiment rien à faire. mais alors vraiment. je ne serais pas mieux qu'avant, oh ça vous vous fourrez le doigt dans l'oeil si vous pensez benetement que je vais m'efforcer à fair eune rentrée fracassante et multiplexe. Non je garderais l'écriture glutamante et parachevée qui enlise tellement les sourcils. Je resterais dans la ponctuation amorphe, la syntaxe huileuse et l'expression balafrée. Je ne vois pas pourquoi je me forcerais à faire des efforts là où on en demande pas. Je veux dire il y a tellement de choses qui demandent efforts que, dès que se pointe une activité qui laisse le choix entre bien faire une activité avec efforts ou mal faire une activité sans efforts mais sans consequence, je choisis evidemment la seconde option. Vous voyez c'est flou. meme moi je viens de relire cette phrase je n'ai pas compris. Bref j'avais initialement prévu de dire quelque chose tout de même mais j'ai oublié.

8 juillet 2007

Bon on va dire que je pars mais tout le monde

Bon on va dire que je pars mais tout le monde s'en fout de toutes façons alors si je pars et que je ne le dis pas aha vous serez exactement les mêmes ce qui prouve dès le début l'inutilité de cet article en effet que j'écrive ou non que je pars pendant X semaines vous vous en battez les reins avec le balai de l'ennui et du "j'en ai rien a faire que ce mec qui écrit ces articles tristes sans vie illisibles imponctués malhabiles bref en un mot comme en cent je ne dirais pas ce mot haha je vous ai bien eu bref j'en ai rien a fairque ce mec se barre de son ordi ma vie restera la même je me leverais toujours le matin je prendrais toujours mon petit déjeuner ma douche mon bus mon repas bref que ce blog meure pourrisse succombe s'efface s'irradie se desintegre s'annihile ou tout simplement s'arrête c'est vrai pourquoi chercher toujours les mots les plus compliqués et ben bref j'en ai rien à faire." Oui en effet vous avez raison mais dans ce cas pourquoi suis-je en trian d'écrire cet article me direz vous suant corps et âme dans l'espoir de vous signaler ma future absence de X semaines oui trouvez donc la réponse parce que en vérité et c'est la tout le drame de l'histoire et bien je n'ai pas la réponse donc si vous pouviez la trouver j'aimerais bien ca m'aiderait beaucoup à trouver un but à cet article parce que là je crois que je vais l'arreter tres vite c'est dommage pour un derneir article avant X semaines j'aurais peut etre bien aimé faire un article propre construit organisé avec des points et des dessins d'enfants rieurs gambadant dans la fraiche lenteur du matin doux et penetrant mais non il faut que je sois brouillon caca crade ce qui rend cet au revoir de X semaines encore une fois sans attirance particulière il est vrai je l'admet à y regarder à quelques mêtres de recul la forme de cet article c'est à dire un gros pavé terne je ne serais guêre enchanté de lire cet article il est vrai je l'admet vous avez raison et d'ailleurs vous n'êtes même pas en train de lire cet article avouez le allez y tout au plus vous ne faites que le parcourir lassivement par ennui morbide un triste jour de pluie et vous vous dites "bouarf allons voir l'autre j'ai besoin d'une sieste ca va m'endormir" mais oui bien sur c'est donc ça j'ai enfin trouver un but à cet article ce sont ses vertus soporifques je devrais envoyer un brevet à la pharmacie du coin il vont peut etre m'employer où imprimer l'adresse de ce blog sur des paquets de Doliprane et d'Epheralgan quelle joie intense illumine mon coeur qui s'évapore alors dans une idylle manifeste au cotoiment désuet et à la girondaise parfumée d'extraits nougatés et polycopiformes. Tiens j'ai mis un point bref tout ce beau pavé pour dire que durant ce doux mois de juillet pas de nouvel article plus je l'écris et plus je me rend compte que de plus en plus de gens en ont de plus en plus rien à foutre c'est une sensation très étrange bien il faudrait que quelqu'un m'arrête sinon je vais vraiment écrire pendant trois plombes déjà que c'est bien lourd comme ça je vais m'auto-persuader attendez ça y est je crois que j'ai réussi à acquerir la capacité d'arreter cet article attention un deux troi je m'arrête c'était un piège bien évidemment vous n'y avez pas cru tout de même non vous n'y avez pas cru car en effet vous ne l'avez même pas lu merveilleuse trace de mon existence qu'est ce blog incroyable fou sensationel oserais-je même heureusement que j'ai de la boue sur mes chaussures parce que les traces que je fais sur le sol c'est quand même plus interessant que ce blog comme preuve d'existence bien je crois que je vais m'en aller maintenant j'imagine que je reviendrais peut etre parler au néant un de ces jours en tout cas je vous préviens mais seulement à la fin parce que sinon c'est pas marrant mais si vous avez lu cet article en entier ben vous allez avoir sacrément mal au yeux pendant quelques minutes et vous allez voir des grandes lignes blanches et aveuglantes dans votre pupille c'est tres désagréable vous allez voir je viens d'essayer je vois que dalle c'est plutôt cocasse me direz vous.

Merci, lecteur inexistant, de ne pas avoir lu cet article.   

4 juillet 2007

Aukygburkebvkgfsdbbjb. A peu près. Dans un

Aukygburkebvkgfsdbbjb.

A peu près. Dans un mouvement de profond sentimentalisme nostalgique accompagné de déambulation notoires farouches et magnético-paranoïaque, je me lance dans un nouvel article, aussi tétraplégique soit-il. L'anabolisme ne sera que limpide, l'homéopathie aura un impact boursier conséquent, l'hystérie sera promue aux conseil supérieur d'aménagement hydraulique.

Recemment, deux choses se sont heurtées de plein fouet dans mon jeune, frêle et claustrophobique cerveau.

D'un coté Les Fleurs Du Mal de Baudelaire.

       fleurs_du_mal_big

De l'autre l'émission abrutissante et américaine (pardonnez le pléonasme) NEXT.

bas

Vous avez remarqué ça doit bien faire 6 mois que j'ai pas mis de photos vous avez remarqué la somptueuse mise en page de cet article c'est vraiment merveilleux je ne sais pas ce qui me prend mais j'ai jamais vu un article aussi beau que celui là vraiment il est splendide avec des explications détaillés des shémas démonstratifs des conifères alambiqués des ostrogoths curviformes des salamandres radicalistes des apartés insomniaques des collaborations unijambistes des galinacés ïnvertébrés des chromes lustrés des radis cocasses et enfin des lutiers luttant contre la mondialisation ville et tenace d'une politique d'assouvissement primaire organisée, réfléchie, programmée, sans perturbation météorologique annoncée avant le jeudi 20 juin où des averses de grêle se feront sentir sur les côtes de Poitou-Charentes.

Je disais donc:

Recemment, deux choses se sont heurtées de plein fouet dans mon jeune, frêle et claustrophobique cerveau.

D'un coté Les Fleurs Du Mal de Baudelaire.

       fleurs_du_mal_big

De l'autre l'émission abrutissante et américaine (pardonnez le pléonasme) NEXT.

bas

Vous avez remarqué ça doit bien faire 6 mois que j'ai pas mis de photos vous avez remarqué la somptueuse mise en page de cet article c'est vraiment merveilleux je ne sais pas ce qui haha je vous ai bien eu vous avez cru que j'allais refaire deux fois la même chose je suis content de vous avoir piégé.

Je disais donc (jamais deux sans trois).

Recemment, deux choses se sont heurtées de plein fouet dans mon jeune, frêle et claustrophobique cerveau.

D'un coté Les Fleurs Du Mal de Baudelaire.

       fleurs_du_mal_big

De l'autre l'émission abrutissante et américaine (pardonnez le pléonasme) NEXT.

bas

Et des phrases se sont aggripés, vivaces, tenaces, face, melasse, masse, sas, rapace, restant au fond de mon jeune, frêle et claustrophobique cerveau. Et j'ai pu faire une simple comparaison entre ce qu'est quleque chose de beau, et quelque chose de pitoyablement nulissime. le ocntraste est douloureux, faites attention à l'hydrocution, mouillez-vous la nuque.

Dans Les Fleurs Du Mal, je lis:

"Il est doux, à travers les brumes, de voir naître
L'étoile dans l'azur, la lampe à la fenêtre,
Les fleuves de charbon monter au firmament
Et la lune verser son pâle enchantement."

Dans NEXT, j'entends:

"Hillary est allegique à la neige, elle travaille dans l'hydrologie et elle est fière de son troisième téton."

Dans Les Fleurs Du Mal, je lis:

"Dans son oeil, ciel livide où germe l'ouragan,
La douleur qui fascine et le plaisir qui tue."

Dans NEXT, j'entends:

"J'aurais pu mieux jouer au basket, mais comme il a une vilaine peau, ça m'a déconcentré."

Dans Les Fleurs Du Mal, je lis:

"L'aurore grelottante en robe rose et verte
S'avançait lentement sur la Seine déserte,
Et le sombre Paris, en se frottant les yeux,
empoignait ses outils, viellard laborieux."

Dans NEXT, j'entends:

"De toutes façons vous êtes tous des connards vous savez pas ce que c'est le style il déchire et vous vous êtes mes sbires en plus ça rime je suis poête."

Dans Les Fleurs Du Mal, je lis:

Bouarf je n'ai pas envie de continuer cet article en fait. Mais j'ai fait un effort quand même. J'ai réussi à parler de quelque chose de concret. Youhou bonheur gargantuesque et décadence pulmonaire.

30 juin 2007

En fait j'ai vraiment l'impresson d'entretenir un

En fait j'ai vraiment l'impresson d'entretenir un feu à moitié mort dans une forêt toute pourrie. C'est vrai c blog s'émiette jour apres jour comme du petit bois tout sec qu'on incendie avec des conneries abrutissantes pardonnez ma vulgarité mais je me demande encore et toujours pourquoi j'écris ce caca ambulant. Vraiment je cherche, et je ne vois VRAIMENT pas pourquoi je continue à extirper ce blog suffocant des flammes de la désuétude. Quête absolue mais impossible. Il n'y a plus rien de concret ici mais j'écris quand même. Apres brève observation des derniers articles de mon blog, tous les articles sont TOUS pareils. Un copier-coller fade et sans vie qui se régenere inlassablement sur ce pauvre écran noir. Allez que diable un peu de renouveau traitons d'un sujet encore jamais exploré sur ce blog. Nous allons aujourd'hui lister tout les Patriarches d'Antioche des origines jusqu'en 544.

      

Peti jeu pour se détendre, cette liste est incomplète, deux des patriarches d'Antioches sont absent. Si vous les retrouvez, vous avez gagné cette splendide voiture en démonstration vidéo ici.

26 juin 2007

A l'unanimité générale je décide de refaire un

A l'unanimité générale je décide de refaire un article. Et pas des moindres. J'en ai préparé de derriere mes fagots absolument exquis. Attendez que je le retrouve.
























Ben je l'ai perdu. Bon ben alors je vais faire la même chose que d'habitude, une bouillie de mots baignée dans une crême périmée de logorhée rédigée à la sauce avariée. Mmh c'est ragoutant. Bien bien bien que dire. Ben rien. Alors qu'écouter. Ben ca.

Mais fort.

Bordel c'est vraiment nul ce que j'écris. C'est dommage ca pourrait peut etre dans une hypothèse hypothètique en hypothéquant la rue de la paix pour construire un hotel rue Victor Hugo ca pourrait eventuelement etre pas mal. Mais en fait. J'ai enfin la solution. Elle vient de me titiller l'esprit. En fait, parfois à certains moments dans certaines aires de la dimension temporelle il m'arrive d'avoir des idées d'articles. mias vraiment des idées. Je me dit Ah tiens je vais mettre ça la prochaine fois on va bien rigoler ca va etre fou tout le monde va s'amuser sur cet article détonnant on va se poiler comme des ratons laveurs espiègles et autodidactes parcourant la stratosphère à l'aide de manucures vaporisées. Et puis quand j'arrive devant cette page vide, vierge, prête à être envahie par mes mots, une révélation se fait. A chaque fois.

La suite dans le prochain épisode.

.
























En fait non je n'aurais pas envie de continuer cet article plus tard j'ai déjà du mal à l'écrire maintenant. La révélation qui se fait à chaque fois que j'ai une idée d'article c'est: j'ai teeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee
eeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee
eeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee
eeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee
eeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee
eeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee
eeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee
eeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee
eeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeelement la flemme de l'écrire. Alors je n'écris rien. Ou j'écris des articles comme celui que vous, ou plutot tu (je dis tu car il n'existe pas de pronom pour designer le néant) viens de lire.

Oui ça équivaut à peu près à rien aussi.

Je met quand même ça pour clore parce que c'est bien.

C'est même excellent.

8 mai 2007

Tiens je vais m'étaler lourdement en cette fin

Tiens je vais m'étaler lourdement en cette fin d'apres midi sans vie sur ce magnifique clavier pour y assoupir quelques-cherchons le mot le seul qui me viennent à l'esprit navré mais c'est-conneries (et encore une connerie c'est concret). Je suis en train de me dire à l'instant mais sacré nom d'une pipe en acajou comment est ce possible de divulguer sa vie privée sur internet en ayant la certitude d'interesser les lecteurs. Mais bordel de buse affamée il y a vraiment des connards sur internet. Non il y a un truc qui me fait encore plus rire. Oui parce qu'il vaut mieux en rire, alors qu'est ce que j'en ris. Ce sont les pré-adolescentes qui découvrent l'indépendance (ben oui quand même elle peuvent prendre le bus sans leur parents et elles ont même le droit de regarder un film interdit au moins de 12 ans le soir) et qui ouvre un blog avec, écrit en majuscule sur le premier article:

JE ME TROUVE MOCHE.

Suis ensuite sur tout le long du blog une série de photos de la soit disante mocheté, qui, dans ses postures et prises de vues ne semble pas se trouver si moche que ça. Mais quel puantise. Je trouve ça abject. Mais ne nous emportons pas et declamons un peu de sensualité folichonne dan sun climat ambiant de terreur civile. Je n'arrive telllement pas à être concret que je n'arrive même pas à dire que Sarkozy a été élu président. Je dois me forcer. C'est amusant. Je me bats avec mes doigts pour écrire des phrases. ohohuhuhihyhrjqskhbvhvsedfbjhbvfe. J'ai gagné. Je ne sais plus si j'ai grand chose à dire, observant avec ardeur licenciée que ce qui précède n'a pas de contenu fort éclatant. je vais donc m'en aller. Si vous avez lu cet article ainsi je vous remercie c'est tres aimable je ne vais pas vous laissez partir ainsi voilà un cadeau.









27 avril 2007

Lisez cet article et je vous donne 10€. Voici une

Lisez cet article et je vous donne 10€.

Voici une accroche pratique pour tenir en haleine les rares visiteurs fantomatiques qui se fracasserait avec molesse sur ce blog. Mais en fait c'est faux. Je n'ai pas assez d'argent. Meme si j'ai un visiteur par mois je n'ai pas assez d'argent. Que je suis pauvre plaintif et hyperbolique. Bien lançons nous dans quelques métaphorismes douteux et fantaisies malheureuses. Je tenterais pour faire plaisir à notre bon ami Anonyme quinesouhaitepaslaisserdadresse@hotmail.com de rester dans le domaine du concret et du réel.

Apres avoir vu l'image luisante d'un squelette en simple et habile forme, je constatais alors avec effroi que mon conscient ne s'était jamais rendu compte de la présence de cette elément dans mon corps. [c'est mal barré pour le concret] En effet. Ajtrebfd à l'instant je viens de boire un des médicaments les plus dégeulasse que j'ai jamais bu. C'est vraiment répugnant. Une synthèse additive malsaine aux extraits biogéniques d'anis industriels. Tout simplement abject. Ainsi donc. Revenons en au squelette. Vous voyez à quoi ça ressemble. Et bien dites vous. Nous d'abord asseyez vous relaxez vous ouvrez vos chacras et enfin. Visionnez vous l'image d'un squelette où regardez en un quelque part. et bien dites vous que si vous n'aviez plus de muscles plus d'oeil plus d'oreilles de cheveux de peau de muscles de chair de graisse d'oesophage de pancréas d'organe reproducteurs de tendon de poils glandes salivaires nez ongles nerfs coeurs poumons j'en passe et des encore plus initeressante, et bien il vous resterais encore... allez vous y etes presque... A votre avis... Oui bravo un squelette quelle déduction propice au désencahtement primaire de l'archaisme naissant d'un pétrolier marginal et magnétique. Ainsi donc, enfoui au noyau de notre corps, se camoufle habilement une combinaison ingénieuse d'os. et bien assis sur mon canapé, je fus alors frappé par l'image d'un moi même squelettique, et je fus alors obsédé par cette image de squelette vivant en moi, un petrsonnage inconnu à qui je n'avais jamais fait attention, mais qui occupait le centre même de mon corps, une base solide et sans vie, essentielle, vitale pour ne pas dire portugaise. On voit enormement de squelette dans le monde qui nous entoure. Dans les films les publicités je n'ai pas d'autres exemples mon argument est vraiment pitoyable. Associé tout d'abord à l'image de mort de peur et d'effroi sanglant ainsi que numérique, le squelette est à notre époque à connotation beaucoup plus humouristique. Apres cette étrange pensée que j'eu sur cet innefable et rocambolesque canapé, le squelette a pris pour moi une nouvelle dimension. Celle de l'abstrait enfoui en chaque être vertébré. Aha j'ai réussi grâce à cette pitoresque logorée (pardonnez l'orthographe) verbale à dissuader tout lecteur de lire ce texte en entier. Joie intense et solitaire.

Bien j'avais autre chose à dire mais je crois que je vais attendre quelques jours.

Le concret n'est décidément pas mon fort. Interrogation momentanée sur l'incipit apprivoisée d'un perilleux artifice cardiaque.

21 avril 2007

Yuhu wanda bouba sebulba il fallait bien que je

Yuhu wanda bouba sebulba il fallait bien que je revienne un jour. J'ai peu de choses à dire mais je vais quand même les dire. Et puis je m'emporterais et j'écrirais des choses que je n'avais pas prévu d'écrire et finalement cet article ressemblera au final à tout mes autres articles c'est à dire un BORDEL AFFREUX ILLISIBLE MORNE ET FLASQUE. Belle perspective. En vérité c'est juste une question de flemmardise intense et personelle. L'organisation demande de la volonté intellectuelle, j'en manque fort. Alors je me laisse aller. Je crois qu'il y a eu une époque où j'étais un tant soit peu organisé. Mais ça date. Maintenant je barbouille dans l'inorganisation la plus complête. Ca ne me derange pas. Je ne m'en plains pas. J'évolue dans un fatras cacophonique séduisant laissant libre cours à l'inconsciente créativité. C'est ça. L'organisation est intolérante envers l'imagination. Tiens c'est pas mal. On va faire un cadre.

En fait je n'ai pas réussi à cadrer.

Quelques remarques diverses et autres déambulations inconscientes. Un grain de sable c'est fourbe. Le scotch double face c'est mal foutu. L'argent ça pousse pas sur les arbres (bravo belle déduction). Uriner en mettant ses chaussures en même temps c'est difficile. Un casque c'est fragile. Et quand c'est fragilisé c'est très énervant. Bien voilà c'était fort interessant j'ai l'impression d'être ce genre de personne qui ne parle que de petites choses privée qu'il ont vécues avec leurs amis. A la difference que moi c'est encore pire car PERSONNE ne comprends ce que j'écris. Voila je viens de passer dans une phase existencielle et metaphysique. Enfoiré de Beckett il déteint sur moi. Tiens à cet instant précis je remarque encore une fois que cet article n'a pas du tout le cotnenu que je lui prédestinais au départ. Mais je ne me souviens plus ce que je voulais dire au début. Ca devait etre moultement interessant. Bien je commence à vider mes cartouches d'effluves d'inutilité verbales. Si ce n'est le fait que je remarque avec palpitation que le concret n'est pas mon fort. Je me souviens d'une ère où je parlais sur ce blog de musique de film et d'evenements. Maintenant non. Plus rien. Ce blog est un brouillard cafardeux et nauséabond. Je me demande comment je fais pour continuer à avoir une visite par jour. Ah mais si c'est moi qui y vais pour vérifier que l'article est bien publié. Suis-je bête. Et bien voilà. J'ai tout épuisé. Ah non je voulais dire aussi que concret ça ressemble pas mal à concert. Mais oui bravo ca valait la peine diantre peste choléra machinerie et infantilisation maniaco-dépressive.

17 mars 2007

Je ne suis pas sûr d'incarner la copie conforme

Je ne suis pas sûr d'incarner la copie conforme d'une confédération magnanime d'une société au déclin engageant au siliformes cutanés et aux méfaits divers et sensuels malgré tout j'imagine être en possession d'une clé manifeste d'un mouvement aléatoire aux tendances machiavéliques cependant la perte immatérielle d'une donnée reçue déclenche un potentiel oratoire impressionnant et c'est pourquoi j'apprécierais de façon tolérée la manière dont vous pourriez vous absentez ultérieurement équivalent à un labs de temps filiformes conformément à la législation bavaroise entrainant pot de vin miséricorde et patte de bois illustrant de façon définitive la déonthologie mathématique redevable de quelques hectares de champs circulaires et monochromatiques avec une thématique avoisinant la décandence prolifère et grossière du péril enfantin hétéroclyte remunéré par une fraise aglicidique moyennant le fait giratoire que les deux cintres violents ménagent sans succès leur dimanche débutant écrasant force allure et liquéfaction pétrifiée aux ancètres récalcitrants mais forcément modestes de par leurs situation équilibriste et forcenée gloire aux ventres engloutis par delà les océans écarlate de jeunesse prohibée contrebasse arlequin et milles autres insecticides parcourt ainsi nonchalemmment la définition exigüe de randonneur badigeonné de givre faisandé avec la promesse égocentriste de revenir un jour dans les bras accroissant la longue divinité souillé par le sel et la cacophonie ambiante de la station de broussaille au koalas rachitiques et parsemés d'effets divers tel que license oxygène plongée sous-marine et grenadine palichonne aux extraits lactés de ferments opératoires tel que grue truite girafe machine déambulation foutaises que cela dirais-je aussi bien et cependant ma foi je ne sais guerre de 100 ans ridicule blasphème on ne lui a pas dit exorbité calvitie energumene eclosion nature etranger renard direct tres silencieux xavier rodéo ophelie evian noel lac crouton nier rater rock kangourou universel littérature essence ellipse eclipse ethanol la amidon nuremberg grenadin nager retourner ravin ne etique elogieux xylophone et traduire efficacement toutes sofrologie parlementaire.

11 mars 2007

Une journée a la capacité inusuelle de s'allonger

Une journée a la capacité inusuelle de s'allonger indéfiniment. Ainsi ce matin me semble lointain, et c'est certainement du au fait que l'apres midine fut guère grandiose. Ainsi comme dit le proverbe, le temps passe vite quant on s'amuse, mais alors oh et puis non je n'ai pas envie de continuer cet article en fait.

10 mars 2007

10 mars 2007

10 mars 2007

Bouaaarf. C'est vraiment morbide ici. Des bribes

Bouaaarf. C'est vraiment morbide ici. Des bribes de phrases éparses perdues dans un sombre océan néantueux. Et pourtant il s'en passe des choses. Tellement. Aha vous aimeriez bien savoir. Et bien non je ne vous ferais pas ce plaisir qui brule en vous tel un geyser pétrolier hurlant sa perdition infantile dans une lithanie utopique. Non je ne dirais rien. J'en resterai aux faibles soubresauts irréguliers. Je décrirais ce que je n'ai pas vu, pas entendu, pas ressenti. Je serais un falsificateur de mémoire. En aucun cas vous n'apprendrez la moindre réalité ici. Fuyez fuyez fuyez fuyez fuyez fuyez fuyez fuyez. Où alors acceptez de ne lire que du faux. Par exemple. Je m'appelle Dogukan j'habite en Turquie, je suis passioné par les dauphins et autres végétaux occipitaux et j'aimerais m'installer dans un cabanon au milieu de la forêt suisse pour y passer le restant de mes pauvres jours. Ceci est faux. Si cela vous interesse, alors ce blog vous interessera peut être. Mais si vous trouvez cela futile bénin abrutissant débillissime inutile et parfaitement ininteressant, alors non seulement vous avez raison, mais en plus vous pouvez quitter cette page web en cliquant sur la petite croix en haut de l'écran. Double récompense.

Vous pouvez aussi cliquer si vous voulez voir 3 oeufs d'oie et deux oeufs de poule.

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