A l'unanimité générale je décide de refaire un

A l'unanimité générale je décide de refaire un article. Et pas des moindres. J'en ai préparé de derriere mes fagots absolument exquis. Attendez que je le retrouve.
























Ben je l'ai perdu. Bon ben alors je vais faire la même chose que d'habitude, une bouillie de mots baignée dans une crême périmée de logorhée rédigée à la sauce avariée. Mmh c'est ragoutant. Bien bien bien que dire. Ben rien. Alors qu'écouter. Ben ca.

Mais fort.

Bordel c'est vraiment nul ce que j'écris. C'est dommage ca pourrait peut etre dans une hypothèse hypothètique en hypothéquant la rue de la paix pour construire un hotel rue Victor Hugo ca pourrait eventuelement etre pas mal. Mais en fait. J'ai enfin la solution. Elle vient de me titiller l'esprit. En fait, parfois à certains moments dans certaines aires de la dimension temporelle il m'arrive d'avoir des idées d'articles. mias vraiment des idées. Je me dit Ah tiens je vais mettre ça la prochaine fois on va bien rigoler ca va etre fou tout le monde va s'amuser sur cet article détonnant on va se poiler comme des ratons laveurs espiègles et autodidactes parcourant la stratosphère à l'aide de manucures vaporisées. Et puis quand j'arrive devant cette page vide, vierge, prête à être envahie par mes mots, une révélation se fait. A chaque fois.

La suite dans le prochain épisode.

.

En fait non je n'aurais pas envie de continuer cet article plus tard j'ai déjà du mal à l'écrire maintenant. La révélation qui se fait à chaque fois que j'ai une idée d'article c'est: j'ai teeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee
eeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee
eeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee
eeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee
eeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee
eeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee
eeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee
eeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee
eeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeelement la flemme de l'écrire. Alors je n'écris rien. Ou j'écris des articles comme celui que vous, ou plutot tu (je dis tu car il n'existe pas de pronom pour designer le néant) viens de lire.

Oui ça équivaut à peu près à rien aussi.

Je met quand même ça pour clore parce que c'est bien.

C'est même excellent.

Comments

[Sn.]

Ca ne marche pas. Et du coup je me retrouve bêtement avec 4 commentaires. Merci internet. Je cours me défenestrer.

il aurait souhaité chanter. je me suis laissée prendre. pas aisé de trouver.

Pour une première cyber-apparition ( à prononcer à l'américaine ) ce fut réussi.

[Sn. II]

>
>
>

Toutes mes plus plates coutures, je suis désobligée.

[Sn. II]

>
>
>

Toutes mes plus plates coutures, je suis désobligée.

[St.]

( Il est évident, je tiens à le faire remarquer, que je suis malheureusement entièrement consciente de l'absurdité de mon choix, qui consiste à ne révéler que la première et la dernière lettre d'un nom qui, en plus, n'est même pas le mien. L'anonymat me parait malheureusement le seul procédé, aussi consternant soit-il, me permettant de d'accéder à ce si enivrant sentiment de jouissance et de pouvoir auquel j'aspire tant. ( Tant qu'à être considéré comme le néant, autant que ce soit volontaire.) ) Je crains qu'il ne me soit pas aisé de trouvé de suite pertinente à cette entrée fracassante. On pourrait aller jusqu'à penser que cette introduction médiocre n'a d'ailleurs pour but uniquement que de donner quelque consistance à un commentaire, qui se serait voulu simple et léger. Ainsi, dénué de toutes formes excessivement exubérantes, il aurait souhaité chanté les louanges d'une écriture attractive, d'une sorte de frustration quotidienne vivifiante, d'une ironie charmante, d'un sarcasme (Panne d'Adjectifs - Panne d'Adjectifs - Panne d'Adjectifs.) [...] désopilant. Pour ainsi dire, je me suis laisser prendre à ( il arrive une heure ou le cerveau doit ce reposer sans quoi il ne trouve plus ses mots (quoiqu'il vaille sans doute mieux qu'il s'arrête maintenant.) [...] (donc, ce que nous appellerons) une sorte de barbarie lyrique, joyeusement orchestrée qui nous fait pleinement pénétrer dans un univers quelques peu fantasque qui semble t' ( le néant renvoie le tutoiement à l'auteur) appartenir. Ce sera tout pour aujourd'hui. J'espère que la note élogieuse que j'aurais voulu omniprésente dans cet amas de mots aura été ressentie. Bien à toi, et bonne soirée.